Je vous présente, un éleveur d’oiseaux, Alan Braichet passionné par les « becs crochus »
Voici un petit article qui va en intéresser plus d’un… car je sais que vous êtes nombreux à apprécier ces oiseaux.
Une espèce d’oiseaux a bien connaître avant de démarrer un élevage.
Du haut de ses 19 ans, Alan Braichet a déjà derrière lui un passé d’éleveur passionné.
Du plus loin qu’il s’en souvienne, Alan a commencé à élever des petits rongeurs, hamsters, gerbilles, écureuil, chinchillas mais aussi des lapins. Tous ces animaux faisaient parti de son environnement.
Ayant vite fait le tour de ces petits bêtes bien sympathiques, il s’est laissé tenter par les poissons et les amphibiens.
Ne pouvant pas faire accepter la présence d’animaux de basse-cour chez ses parents, Alan allait s’occuper des gallinacés, anatidés et autres animaux de son voisin. Mais Alan n’était pas pleinement satisfait, il ne trouvait pas l’interaction qu’on peut développer avec certains animaux autre que les chiens, les chats.
Jusqu’au jour où le déclic est arrivé…
Alan a recueilli un jeune pigeon qu’il a élevé à la main, et là ses parents n’ont pas eu d’autres choix que d’accepter ce « bébé ». Ce pigeon était d’ailleurs extraordinaire. Par la suite, Alan a été de plus en plus attiré par les oiseaux.
Il a commencé à côtoyer des perroquets chez des éleveurs chevronnés, qui sont à présent devenus des amis.
A partir de ce moment là, Alan a réalisé qu’élever des perroquets était de loin ce qu’il avait connu de mieux jusqu’à présent l’intelligence de ses oiseaux l’a épaté, mais c’est le côté interactif qui lui a fait sauter le pas.
Il a commencé petit, avec des callopsittes, puis des inséparables, des perruches ondulées qui se sont reproduites.
Naturellement il a créé un lien avec ces oiseaux et les a apprivoisé un par un. Il a mis de côté l’aspect reproduction, et a vraiment commencé à privilégier la relation qu’il pouvait avoir avec ces oiseaux.
Par la suite, n’ayant pas les moyens de financer des oiseaux magnifiques mais plutôt coûteux pour la plupart,
Alan a récupéré un, puis deux, puis trois, puis d’autres perroquets qui étaient maltraités ou mal-lotis, il les a remis sur pied. Ensuite notre ami a commencé à travailler et a pouvoir mettre un peu d’argent de côté ce qu’i lui a permis de procurer ensuite d’autres perroquets et de leur faire des installations qui combleraient au mieux leurs besoins.
A côté de cela notre ami a commencé à pratiquer le vol libre, et à faire voler ses oiseaux en totale liberté. Au delà du fait que c’est un plaisir pour lui d’emmener ses oiseaux, c’est surtout dans l’intérêt de l’oiseau que de lui permettre de vivre au mieux sa captivité et de s’épanouir au maximum.
Ce qui devait arriver, arriva: notre ami Alan a rencontré l’amour et le « must » de cette histoire, est que cette jeune femme est elle aussi une grande passionnée de perroquets. C’est également son travail.
Aujourd’hui, le couple possède de nombreux oiseaux, une petite trentaine …
Les deux passionnés vivent et partagent leur passion.